De Gaulle sa face cachée
Ses impostures, ses forfaitures, ses crimes!
« Comment un homme, fusse De Gaulle, peut-il être aussi inhumain ? Comment, après ses trahisons, ses forfaitures et ses crimes ose-t-il s’écrier à la face du monde : Sans heurts, sans drame, sans douleur ? »
L’objet de ce livre n’est pas de souhaiter la comparution du général De Gaulle (à titre temporaire) devant un tribunal pour crime contre l’humanité, il ne faut pas rêver, mais plus simplement de montrer le vrai visage de cet homme, sa vraie personnalité, sa véritable ambition, prouver qu’il n’a reculé devant aucun moyen pour y parvenir, même les plus sanglants, les plus méprisants, les plus honteux, n’hésitant jamais à faire couler le sang français dans l’unique objectif de parvenir à ses fins et que, pour cela, il ne s’est jamais mis au service de la France, mais il a mis la France à son service, à la différence du Maréchal Pétain qui déclarera en juin 1940 : « Je fais don de ma personne à la France. »
Pourquoi ce livre 50 ans après les évènements tragiques que nous avons vécus ? Pour deux raisons :
• Il est indispensable que nos étudiants actuels et futurs aient connaissance de ces faits historiques et véridiques qui sont et seront sans aucun doute occultés par les livres d’histoire officiels et puissent donc se forger leur propre opinion en toute connaissance de cause ;
• Parce que plusieurs décennies sont quelquefois nécessaires pour apprécier tous les faits historiques à leur juste valeur, sans complaisance ni haine, mais également sans œillères.
Le grand responsable de tout ce gâchis, le chef d’orchestre de cette désolation est le « grand » De Gaulle.
Engagé par Albert Camus à l’âge de quinze ans comme pigiste pour le quotidien Alger Républicain, Manuel Gomez devient chef de rubrique à La Dépêche d’Algérie. Correspondant de L’Aurore durant la guerre d’Algérie, il rejoint la rédaction parisienne en 1960 afin de « couvrir » le « procès des barricades » et celui des généraux Salan et Jouhaux. C’est ainsi qu’il devient chroniqueur judiciaire des quotidiens L’Aurore et Le Méridional de Marseille.