De ma terrasse d'Ibn-Khaldoun
C’est l’époque où, dans un petit coin du quartier arabe de Sidi-Bel-Abbès, une famille poste ses lettres vers la France. Nous sommes en 1961, les Nicolas, enseignants à l’Ecole Ibn-Khaldoun, commencent à écrire à leur fille aînée, Mireille, qui poursuit ses études à Aix-en-Provence. C’est la dernière année de l’Algérie française. À travers leur correspondance, c’est l’histoire d’une famille pied-noire qui s’écrit, tiraillée entre humanisme et stéréotypes.
2003. 328 pages. Format 140 x 225.