Et Alger ne brûla pas
" Le commandant Azzedine, engagé dès la première heure dans la lutte pour l'indépendance Nationale de l'Algérie, s'est d'abord battu dans les maquis, à la tête des meilleures unités de l'Armée de Libération Nationale. Figure héroïque de la Révolution dans son pays, chef militaire respecté et admiré par ses adversaires, il a évoqué ses souvenirs de maquisard dans "On nous appelait les fellaghas", ouvrage salué par la critique internationale comme un document exceptionnel.
Le commandant Azzedine poursuit ici son récit. Nommé (à 27 ans) par le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne responsable de la Zone Autonome d'Alger, début 1962, il réorganise la capitale, la nourrit, lui rend ses structures économiques et sociales, la sauve de la destruction en démantelant l'O.A.S. Si Alger n'a pas brûlé, c'est grâce à lui et à ses compagnons, une plogée d'hommes hors du commun, dont il raconte avec passion l'ultime, effroyable et inédit combat pour la liberté."
Editions Stock, 1980.
Occasion, bon état. Couverture à peine tâchée sur le bord supèrieur et la tranche.
Frais de port inclus dans le prix